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51. Bourse aux plantes
Février 2007
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L’édition 2006 de la bourse aux plantes s’est déroulée le 30 septembre dans les locaux de l’école maternelle La Farandole à Vieille Verrerie.

Les élèves de cette école avaient été préparés à cette journée par une séance de repiquage et de bouturage : Chacun avait pu mettre en pot une plante qu’il avait arrosée avec amour et dont il avait pu observer la croissance. En visitant la bourse aux plantes ces jeunes jardiniers ont pu découvrir le rôle des vers de terre qui, par le biais du compostage, transforment gratuitement nos déchets de cuisine et de jardinage en nourriture pour les plantes.

Ils ont pu aussi admirer la diversité et la beauté des légumes, des fruits, et des plantes de toutes sortes proposés pour échanges par les organisateurs et les visiteurs de la bourse ; en fin de visite ils ont récupéré leur pot de fleur pour l’emporter à la maison et le montrer fièrement à leurs parents ; soyons certains qu’ils ne sont pas revenus avec une simple plante mais aussi avec une autre approche de la nature.

Comme les 2 années précédentes, l’ADEPRA , la bibliothèque municipale et quelques jardiniers amateurs sont à la base de l’organisation de cette bourse, mais cette année-ci, l’association des jardins ouvriers de Petite-Rosselle s’est jointe à eux après avoir accepté, au cours de l’été, de faire visiter les jardins par des groupes de jeunes des animations estivales encadrés par l’ADEPRA. Cette coopération devrait pouvoir se renouveler et même s’amplifier, peut-être dans le cadre d’une animation de quartier.

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52. Editorial
Février 2007
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De multiples événements se sont produits récemment (sans compter la hausse de température de trois degrés de cet automne) qui ont remis le développement durable au premier rang de l’actualité. Le film consacré à la lutte d’Al Gore « une vérité qui dérange » nous alerte sur les dangers du développement actuel. Plus scientifiquement, le rapport Nick Stern annonce les ravages que feront les changements climatiques, notamment en raison des gaz à effet de serre.

La cause est maintenant entendue, la grande majorité des scientifiques le disent : le changement du climat est inéluctable. Les générations qui nous suivent devront vivre avec des températures plus élevées (avec des conséquences très graves en Afrique), des niveaux de la mer en hausse, des phénomènes climatiques extrêmes, des ressources à gérer autrement. Le débat n’est donc plus de savoir si cette éventualité est possible, probable ou réelle ; elle est pour demain, nous le voyons déjà aujourd’hui. La discussion doit porter sur les décisions à prendre pour avancer sur le chemin des réformes qui permettront de limiter ces conséquences et surtout d’arrêter la dégradation de notre planète, afin que les générations futures, celles de 2100, 2200 ou 2300, trouvent encore une place vivable à la surface de la terre.

Il faudra prendre des décisions difficiles, qui viendront changer nos manières de consommer, de nous chauffer, de prendre nos vacances, de voyager ; des décisions individuelles, mais aussi des décisions d’Etat sur nos instruments de production ou nos installations énergétiques. Nous ne pourrons pas y échapper et des mesures immédiates s’imposent : elles sont proposées, entre autres, par l’Union européenne dans le cadre des accords de Kyoto. Pourquoi la France ne suit-elle pas ses recommandations pour les émissions de CO2 ?

Des législations sur la protection de la nature, notamment, existent. Il suffirait déjà de les faire appliquer.

Beaucoup est déjà fait, nous ne partons pas de zéro : ; mais cela n’a pas encore touché vraiment notre mode de développement. Or, c’est un développement durable qu’il faut mettre en place. L’Etat doit faire sa part, mais l’Etat ne fera pas tout. Il doit aussi imposer certaines mesures, mais il ne pourra pas être le seul acteur. La gestion de l’eau, en particulier, dépend de la consommation individuelle et industrielle. A l’industriel il appartient de mettre en place une politique respectueuse de l’eau intégrant le traitement, le recyclage des eaux usées et leur réintroduction dans le cycle industriel. Il est évident que les décisions politiques ne sont possibles que si les citoyens les acceptent. La promotion du développement durable commence dans nos têtes. Les politiques doivent avoir la volonté et les moyens pour aller de l’avant. Or, si le concept commence à être compris par la société civile, il revient au pouvoir de prendre ses responsabilités. L’argument des générations futures devrait aider. La solidarité peut faire des progrès en s’appuyant sur la relation intergénérationnelle. La prise de conscience suffisamment approfondie du fait même de ce réchauffement climatique nous amène à tirer la conclusion que ne rien faire maintenant nous coûtera beaucoup plus cher que de nous y mettre sans tarder. Il ne suffit donc pas d’en appeler à la générosité ou au respect de la nature, il faut clairement montrer qu’il y va de notre intérêt. Voilà qui devrait faire réfléchir nos candidats en campagne.

Car, si ce changement doit être celui de chaque citoyen, il est aussi celui de chaque pouvoir en place, à tous les niveaux : municipalités, départements, régions et nations. La France n’est pas tellement en avance sur ce point. Au contraire, elle traîne les pieds.

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53. Quand l’or bleu talonne l’or noir
Février 2007
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Comparaison entre le prix d’un litre d’eau en bouteille et un litre de gazole

Eau en bouteilleGazole
BRESIL São Paulo 0,90 0,49
KENIA Nairobi 0,65 0,58
JAPON Tokyo 0,90 1
HONGRIE Budapest 0,60 0,97
ISRAEL Jérusalem 0,48 0,75
CANADA Montréal 0,40 0,56
ETATS-UNIS Washington 0,40 0,40
VENEZUELA Caracas 0,35 0,25
COLOMBIE Bogota 0,32 0,32
SENEGAL Dakar 0,31 0,64
PAKISTAN Karachi 0,30 0,59
TAÏLANDE Bangkok 0,28 0,30
INDE New Dehli 0,20 0,45
ARGENTINE Buenos Aires 0,13 0,30
FRANCE Paris 0,25 1
NIGERIA Lagos 0,09 0,30

L’Organisation mondiale de la santé a rappelée hier qu’un milliard d’humains n’ont pas accès à de l’eau potable, et que l’eau insalubre est la première cause de mortalité. Pas moins de trente mille personnes meurent chaque jour de maladies diarrhéiques, principalement des enfants. Dimanche, les organisateurs du second Forum alternatif mondial de l’eau organisé à Genève ont appelé à créer une taxe de solidarité sur l’eau pour financer l’idée de service public mondial et lutter contre la privatisation de l’eau. Dans certains pays, les carburants se vendent moins cher qu’une eau ordinaire en bouteille...

Référence : LIBERATION F du 25 août 2006

Dans notre Région, aussi, les prix de l’eau n’arrêtent pas de grimper

L’arrêt de l’exhaure dans les mines du bassin houiller et dans les mines du Warnd en Sarre, engage une situation d’irréversibilité. Dans le passé, cette exhaure nécessaire pour ne pas laisser noyer le fond, a permis de disposer de l’eau en abondance. Lorsque leur qualité le permettait, ces eaux ont été utilisées pour l’alimentation en eau potable des villes et cités ou industrielle. Les eaux non utilisées étaient rejetées dans les cours d’eau ou les ruisseaux permettant ainsi de réguler les débits.

La remonté de l’eau lors de l’ennoyage aura un impact négatif sur la qualité de l’eau qui, s’imprégnant des différentes substances présentes au fond et mise en dissolution, la rendra impropre à la consommation.

L’arrêt de l’exhaure se traduira par des modifications profondes et provoquera des modifications irréversibles du milieu naturel, ce qui nécessitera des dispositions correctrices, notamment pour éviter les risques d’inondations. Cela implique la mise en place de stations de relevages, d’ailleurs programmés sur la vallée de la Rosselle entre-autre, sur les zones les plus basses : secteur de Rosbrück (weyergraben) Forbach ( Marienau) Petite-Rosselle (rue des Fleurs) …

La prise en charge de ces stations de relevages reviendra aux collectivités, donc aux citoyens qui payeront en lieu et place de l’industriel ou de l’Etat.


Le bilan :

Les sources d’approvisionnement en eau potable actuelles n’étant plus utilisables, la nécessité d’un approvisionnement hors du domaine suite à l’ennoyage est donc devenu incontournable.

Ainsi, le syndicat des eaux du Windborn, est-il en train de réaliser sept nouveaux forages dont cinq en forêt de Longeville les St. Avold de même que la pose de 12379 m. de canalisations qui doivent assurer l’alimentation en eau potable de la population de Merlebach et de la Communauté d’Agglomération de Forbach et de Farébersviller. Ces forages ne représentent cependant que 5 millions de m3 ce qui sera largement insuffisant si la pollution atteint la nappe de Lauterbach (Sarre) dont les forages complétant l’alimentation de la Communauté d’Agglomération de Forbach, notamment les citées de Forbach et Petite-Rosselle.

Le coût total de l’opération s’élève à 10 millions d’euros financés par des crédits européens, par le syndicat du Windborn, le Département, l’Agence de l’Eau, donc en grande partie à la charge des collectivités et des consommateurs. Dans un même temps,20 nouveaux forages en plus de 40 existants, sont réalisés par la SEE ( Société des Eaux de l’Est) organisme privé, filiale de Suez, pour fournir l’eau de la plate-forme de Carling. Ces forages de la SSE se situent tout autour de Carling et de Creutzwald, beaucoup plus près et donc bien moins chers. Cet état de fait est choquant. En effet, l’eau appartient à tout le monde, c’est un bien collectif ; sa gestion et son exploitation ne doivent pas servir à enrichir des sociétés privées mais doit revenir à un organisme public sous contrôle des groupements intercommunaux. La mise en place d’un SAGE ( Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux) dans le Bassin Houiller, lorsqu’il sera opérant, devrait pouvoir éviter des situations analogues. En attendant ce sont les consommateurs et les collectivités qui paient. Foin du principe ’’ Pollueur Payeur ’’ pourtant inscrit dans les textes.

Ponctionnés à longueur d’années pour des aménagement rendus nécessaires suite aux pollutions industrielles ou a des choix douteux, jusqu’où les consommateurs accepteront-ils de payer ?

En attendant, le prix de l’eau est annoncé à la hausse. Le Comité de Bassin Rhin-Meuse a voté une augmentation des redevances qui se traduira par une hausse moyenne de 5 %

Conséquence : Le prix de l’eau n’a donc pas fini de monter.

La parade : traquer le gaspillage et récupérer l’eau de pluie pour diverses utilisations et réduire ainsi la consommation.

Cette parade citoyenne donne déjà des résultats en montrant une baisse globale de la consommation des ménages sur la zone de la Communauté d’Agglomération de Forbach. Une réaction de l’exploitant en eau (Véolia) qui considère que cet état de fait engendrent moins de rentrées financières sur les volumes d’eau non consommés, et devrait être compensé par une taxe supplémentaire sur l’assainissement …. ? Le fermier ( la Communauté d’Agglomération de Forbach) donnera-il son aval à cette demande ? Ce sont évidemment les élus qui décideront mais, dore et déjà pour notre part, nous nous y sommes opposés !

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54. coût du traitement des déchets ménagers
Décembre 2006
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Communauté d’Agglomération de Forbach Porte de France

Nombre d’habitants : ----- 83 438 h.

Année 2005

Dépense globale du traitement des déchets ménagers : 7 302 334 € Recettes totales – aides ECO EMBALLAGE + vente produits triés : 597 621 € Coût net par tonne de déchets traitée : 119,46 € Coût par habitant par an : 79,24 €

Année 2006

Dépenses globales du traitements des déchets prévues : 8 036 829 € Recettes totales prévues : 595 500 € Incidence de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères ( TEOM) par famille : 143,99 €

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55. Lettre au Sous-Préfet du 30 novembre 2006
Novembre 2006
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56. Téléthon 2006
Novembre 2006
(L’association participe à l’édition 2006 du téléthon et vous invite de nous rejoindre à l’espace Concorde de Petite Rosselle.|image_reduire{400,0})
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57. ESPOL
Novembre 2006
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L’association ESPOL a été créée dès 1980 à l‘initiative de la DRIRE et des industriels, dans le but de contrôler les retombées atmosphériques du site de Carling. C’est l’une des plus anciennes associations françaises de mesure de la qualité de l’air. ESPOL est à l’origine un réseau de proximité industrielle dont les analyseurs sont répartis sur 10 stations distantes de moins de 10km du site de Carling. Le polluant principal mesuré est le SO2.

Le réseau a été automatisé et modernisé entre 1989 et 1992. La loi sur l’air de décembre 1996 a eu comme conséquence l’élargissement de la zone géographique surveillée par le réseau à l’ensemble de la Moselle-Est, et la création de stations urbaines, mesurant la pollution photochimique et celle d’origine automobile.

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58. Adresses à retenir
Novembre 2006
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Le site du ministère de l’environnement http://www.environnement.gouv.fr

Portail de l’administration française VOS DROITS ET DÉMARCHES :Environnement http://vosdroits.service-public.fr/...


Sites de présentation des processus biologiques et les technologies mis en oeuvre dans le domaine de la méthanisation

http://www.methanisation.info/

http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A...


Portail :Environnement sur WikiPédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Portai...


La mairie de Petite-Rosselle en ligne http://www.mairie-petiterosselle.fr/


Le Syndicat Mixte de Transport et de Traitement des Déchets Ménagers de Moselle Est http://www.sydeme.fr/site/index.php

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59. Présentation
Novembre 2006
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Notre mission

Défendre l’environnement d’une zone géographique : Le district de Forbach en général et autres actions spécifiques en Moselle Est.

dans le but de préserver la santé de la population locale et le patrimoine naturel de cette zone d’habitation.

Nos principales actions en cours

Action juridique contre l’usine d’incinération de déchets ménagers de Velsen (Sarre).

Action pour la réhabilitation de la carrière des HBL au puits Simon à Schoeneck.

Réhabilitation de la carrière du puits Saint-Charles à Petite-Rosselle.

Participation à la mise en place du traitement des déchets ménagers sur le secteur de Moselle Est.

Information de la population et des élus sur les dangers de l’incinération.

Pollution atmosphérique liée à l’exploitation de la plate forme chimique de Carling

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